Accepter de« prendre du temps pour le regarder »
(Thérèse d’Avila)
et se laisser regarder.L’écouter dans le silence,Lui qui est la Parole incarnée.
Nous nourrir de sa Parole
Se tenir devant ce Dieudont la présence/absencene cesse de nous dérouter.Se découvrir aimée infiniment.
Célébrations liturgiques ouvertes à tous…
« Le monde est en feu, ce n’est pas l’heure de s’occuper de choses de peu d’importance. »Thérèse d’Avila
Une carmélite ne quitte le mondeque pour mieux l’offrir à Dieu,Elle ne se sépare de ses prochesque pour rejoindre l’universelet ainsi rejoindre tout homme.
Thérèse, proclamée par l’EglisePatronne des Missions,nous montre visiblement les fruitsd’une vie toute offerte à l’amour.
CROIREque Dieu est là, malgré son absence sensible.« Il est vivant le Dieu devant qui je me tiens »,nous redisons-nouspendant nos heures de prière.Un être proche meurt dans un accident de voiture,où es-tu Seigneur ?Attentat terroriste et tant de victimes innocentesoù es-tu Seigneur ?Sécheresse, famine, chômage,où es-tu Seigneur ?
ESPÉRERmalgré les difficultés, les doutes (mais oui, il y en a !).mais aussi les souffrances ou la révoltedevant des événementsqui nous touchent nous-mêmes, ou nos prochesou même l’humanité.L’espérance de l’une est donnée à celle qui faiblit,le trésor est mis en commun.
AIMERcelle qui m’agace, accueillir la lenteur de l’une ou la rapidité de l’autre,accepter ses handicaps, accueillir l’autre en toutes circonstancesmême les plus difficiles,offrir largement son sourire.